Ou nos ressources lorsque la nuit s'allonge.


Ce week-end, j'ai lu d'une traite, le souffle littéralement coupé, un roman qui m'a consumée. "Feu" de Maria Pourchet. C'est l'histoire vertigineuse d'une passion dévastatrice. En 350 pages, ni l'amour, ni la joie, ni la poésie ne trouvent leur place. Des lignes de désespoir, d'hivers sans fin, d'isolement et de captivité émotionnelles ... le tout teinté de vulgarité. Si j'admire le talent des écrivain.e.s à "bousculer" le lecteur (en l'espèce, le pari est gagné), je reconnais que les lectures grises, au mieux me laissent perplexes, au pire me glacent le sang.
Ma question en refermant le bouquin : Pourquoi ?
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